Gregh, Fernand, Lettre, 1947

Si le « télégraphe est bien commode », puisqu’on « félicite en si peu de mots », Gregh n’entend pas s’en « servir ». Il a été heureux du « choix » [attribution du Nobel] ; en effet, « il est glorieux pour notre pays » et récompense « le romancier, [l’]essayiste, [le] poète, et toujours [l’]admirable écrivain », et il ajoute que le Journal qui « couronne [l’] œuvre d’un monument autonome, […] à lui seul eût valu la gloire ».