Coupure de presse, date non indiquée, signée François Mauriac, intitulée « Les derniers feuillets de Faust », 1 feuillet imprimé, 2 colonnes
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Mauriac dit lire « avec quel amer plaisir les pages du dernier Journal d’André Gide qui paraissent […] dans le numéro de juin de La Table Ronde » ; et son amertume « vient de ce que ce vieux Faust, au terme de la quête de joie que pour lui la vie, avec la coupe du Prix Nobel dans ses mains qui ne tremblent pas, s’immobilise dans la définitive affirmation qu’il faut dresser l’homme à la place de Dieu ».
Fondation Catherine Gide