A. Rudolf, Raoul Laszlo, L. Charles, Lettre, 1937

Laszlo remercie Gide « des lignes [qu’il] a bien voulu lui adresser » et dans lesquelles, apparemment, lui étaient exprimés des sentiments de solidarité. Il s’agit, dit l’auteur de la lettre, « des agissements criminels des agents du Komitern » qui continuent de le harceler. Il rentre en Tchécoslovaquie et il y dénonce d’avance les méthodes du Parti Communiste tchécoslovaque prêt à toutes les falsifications pour faire taire les membres qui s’en détournent, dégoûtés. Il craint donc d’en subir les foudres et demande à Gide de l’assister si d’aventure il avait à « dévoiler la manœuvre infâme ».