Description
Article du 9 février 1954, non signé, intitulé « Le patrimoine littéraire de l’écrivain est-il passible de droits de mutation ? », 1 coupure de presse, 2 colonnes.
Détails
Auteur(s)
Lieu
Date
Type de texte
Imprimé
Notes
Le Monde rappelle les tenants de l’affaire : Catherine Gide assignant le Ministre des Finances, pris en la personne du directeur général des impôts, c’est « le problème du patrimoine des écrivains » qui est posé. Le quotidien reprend, très succinctement la thèse développée, quelques mois plutôt, dans ses colonnes, par Me Maurice Garçon. Il donne ensuite la parole aux deux acteurs de l’affaire : la demanderesse, l’héritière de l’écrivain et la partie adverse, le directeur de l’Enregistrement. L’espace consacré à l’opposition de la plaignante est beaucoup plus grand que celui réservé aux allégations de l’autorité administrative. « Me Maurice Garçon [soutiendra sa] thèse, devant la première chambre du tribunal de la Seine ».
Crédits
Fondation Catherine Gide