Article du 20 avril 1954, signé Fernand Bertal, intitulé « Un mois à Paris : le fisc et les droits d’auteur », 1 feuillet dactylographié telex.
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Reprenant brièvement les éléments d’un différend dont « on a beaucoup parlé », l’auteur rappelle combien « significatif » est le fait que bien « des auteurs, même les plus célèbres, cessent d’être en vogue après leur mort ». Bref, « la gloire et la vogue sont éphémères », philosophe F. Bertal. Ce qui lui permet de donner bonne chute à son article : « Seul le fisc est immuable ! ».
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