Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 22 février 1951, sur papier à en-tête des « Musées Nationaux/Musée d’Art Moderne, 2, rue de la Manutention, Paris XVIe », 1 feuillet ms. R/V avec enveloppe d’envoi affranchie ayant comme en-tête « Musée National d’Art Moderne ».
Détails
Jean Cassou déplore la mort de Gide, « grande et chère présence [qui] s’efface de notre compagnie ». Cassou ajoute qu’il a aimé Gide, « comme toute [sa] génération l’aimait et cela fait plus de trente ans qu’elle était habituée à cette amitié ». Car n’est-ce pas « en fonction de lui qu’[on] concevait l’exercice de notre indépendance » [?] Et de ses dernières années, Cassou garde le plus « magnifique exemple,... d’une sereine verdeur ».
Fondation Catherine Gide
