Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 26 février 1951, envoyée de Paris, 117, boulevard Jourdan, 1 feuillet dactylographié R/V avec signature autographe et enveloppe d’envoi affranchie.
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Détails
À de « chers amis », le signataire avoue s’être surpris de « ressentir tant d’inquiétude » en apprenant que Gide était gravement malade. Qu’il le connût « à peine » n’a pas empêché sa tristesse d’être « réelle ». Et tandis que l’on inhumait à Cuverville, il se rappelait d’une scène, vieille de vingt ans, quand, sur un chemin, il l’avait aperçu « rentrant chez lui ». Et, « sur la pointe des pieds, fort indiscret », il avait « tenté de découvrir [l’écrivain] à travers la haie, dans son jardin ».
Fondation Catherine Gide