Description
Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 26 février 1951, envoyée de Liège, Belgique, 1 feuillet ms. R/V avec lettre d’envoi affranchie.
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Détails
Auteur(s)
Expéditeur
Destinataire
Lieu
Date
Type de texte
Manuscrit
Notes
« Le monde a perdu une source vive de joie et de clarté », écrit le signataire qui semble avoir connu la famille de Gide à Cabris. Rendant hommage à sa fille, Curvers ajoute que c’est à travers elle que les fidèles de son père sentiront « renaître en eux son image vivante et toute la joyeuse confiance qu’elle leur dispensait ». Il rappelle que dans la moisson des condoléances, celles de Jouhandeau l’a frappé, « car elle n’avait rien de funèbre : il n’y est question que de bonheur, que de travaux champêtres, de joies familiales, etc. ». La ferveur envers Gide ou du moins son souvenir, s’est, au dire du signataire, particulièrement signalée en Belgique et l’a « particulièrement ému ». C’est ainsi que « les journaux, les radios de Bruxelles et de Liège ont multiplié les hommages ». Lui même en a composé un qu’il a lu, « accompagné de citations d’André Gide et de musique de Chopin ». Rien, assure-t-il, qui apprenne quoi que ce soit à Catherine. Il s’est seulement « contenté de raconter quelques souvenirs de Cabris ».
Crédits
Fondation Catherine Gide