Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 21 février 1951, provenant de Versailles, 1 feuillet dactylographié
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Détails
Jean Delannoy étant retenu « par une forte grippe » ne peut se déplacer « pour dire [son] bouleversement et [sa] peine » que lui « cause le décès [d’André Gide] » lui « qui a tant marqué [son] évolution spirituelle et à qui [il] doit tant ». Car cette « disparition, c’est une part profonde de [lui-même] qui s’en va ».
Fondation Catherine Gide