Doucet, Jacques, Lettre, 1919

Type de document
Lettre
Cote
II(2)-123/R
Description

Lettre à André Gide, du 17 novembre 1919, envoyée de Neuilly-sur-Seine, Pavillon du Loup/33, rue Saint-James, 2 feuillets ms. R/V avec enveloppe d’envoi.

Détails

Auteur(s)
Expéditeur
Destinataire
Date
Type de texte
Manuscrit
Notes

Jacques Doucet rappelle à Gide les clauses d’un contrat dont il est signataire, qui l’engageait, le 11 novembre 1918, à lui remettre « deux ouvrages inédits ». Cette « transaction » s’était faite moyennant, écrit Doucet, « une somme importante,... immédiatement effectuée ». Entre temps, Gide avait remis « un manuscrit qui n’est qu’un dépôt ». Or le mécène dit ne savoir qu’en faire, car son usage équivaudrait « à une trahison ». Il juge sévèrement l’écrivain à qui il rappelle « qu’il est temps que cette aventure finisse » et lui demande de reconnaître qu’en la circonstance il « a agi avec la plus galante politesse ». [Les lettres de Gide à Jean Schlumberger de novembre 1919 et de Verbeke de l’Imprimerie Sainte-Catherine, à Bruges, apportent les éclaircissements nécessaires à cette missive qui, sans les nommer, concernent Corydon et Si le grain ne meurt]

Crédits

Fondation Catherine Gide