Article du 29 juillet 1955, signé Sébastien Dulac, intitulé « Cocktail de Paris », 1 coupure de presse, 1 colonne.
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Datant sa rubrique, « mardi », le signataire écrit que « les héritiers d’André Gide ont perdu un procès qui passionnait tous ceux que l’aspect matériel de la littérature ne laisse pas indifférents ». Assurant que « le fisc est un monstre redoutable aux volontés souvent absurdes », l’auteur fait ce rapprochement : « On sait le succès qu’a obtenu Pierre Poujade, moderne Thésée, qui s’est engagé dans le labyrinthe pour pourfendre le Minotaure ». Et il conclut : « Au moment où la Caisse des Lettres est à l’ordre du jour, le Parlement a le devoir d’apporter à ce problème une solution équitable. Ce serait même un beau sujet de propagande électorale... ».
Fondation Catherine Gide