Gide, André, Lettre, 1928

Type de document
Lettre
Cote
H-08-h
Description

Lettre d’André Gide à É. Van Rysselberghe, du 21 mars 1928, envoyée de Paris, 1 feuillet dactylographié R/V sans signature.

Détails

Auteur(s)
Expéditeur
Date
Type de texte
Dactylographie
Notes

Dans cette lettre, Gide se « refuse à croire que la démarche» d’Élisabeth Van Rysselberghe et de Marc Schlumberger, à propos de l’affaire Stanislas, ait été « complètement inutile ». Si ses deux « messagers » en ont été pour leurs frais « malgré le froid », Gide croit que ledit Stanislas se manifestera bien un jour ou l’autre. Nous apprenons au passage que le déménagement vers la rue Vaneau se fait « avec une terrible lenteur », bien que « Marc [Allégret] [aille tous les jours au chantier pour] éperonner les ouvriers ». Devant faire partir sa lettre, voici qu’il reçoit une missive de Stanislas. Elle l’emplit, dit-il, d’une « certaine angoisse ». Mais « que faire [?] [?] ». Il conclut par « je vous tiendrai au courant ». La lettre de Gide à Jacques Maritain nous apprend que l’affaire a été dénouée.

Crédits

Fondation Catherine Gide