Lettre d’André Gide à A. A. M. Stols, du 14 décembre 1928 envoyée de Paris, 1 feuillet dactylographié sans signature autographe.
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Comment, s’exclame Gide, se peut-il « qu’[il] n’ait pas encore remercié du Voyage d’Urien autrement, du moins, qu’en pensée » ? C’est qu’il a eu tant à faire. En tout cas il espère que l’éditeur est « satisfait » de sa réalisation. Lui, Gide, l’est moins en ce qui concerne la couverture et... franchement, il serait « volontiers passé des vignettes ». Une fois ces choses dites, il ne lui « reste qu’à louer ». Mais à quelles « conditions » avait-il souscrit. Les lettres de l’éditeur qu’il a conservées « sont si bien rangées [qu’il ne peut] les retrouver aussitôt »...
Fondation Catherine Gide
