Gide, André, Lettre, 1929

Type de document
Lettre
Cote
B-11-n
Description

Lettre d’André Gide à W. A. Bradley, du 12 mars 1929, envoyée de Paris, 3 feuillets dactylographiés avec un passage autographe de la main de son secrétaire et sans signature autographe ; trois exemplaires de cette lettre figurent dans le dossier.

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Détails

Auteur(s)
Expéditeur
Date
Type de texte
Dactylographie
Notes

« Les insistantes accusations » qu’on lui avait transmises, « concernant les traductions de Madame D. Simon Bussy » n’avaient pas été sans inquiéter Gide. Or, dit ce dernier, il « avait lu tout à la fois, avec le plus grand soin, le relevé des griefs et des fautes signalées ; lu également la réponse de Mme Bussy, puis la riposte à cette réponse qui, [Gide le croit], avait été transmise [par Bradley] ». Mais voici que « ce matin même », il reçoit un message d’Arnold Bennett concernant cette affaire qu’il avait cru devoir lui soumettre. Gide compte sur « l’obligeance » de Bradley de « servir encore d’intermédiaire » pour faire parvenir la lettre de Bennett aux Knopf à New York. Il précise que « de différents côtés, et sans qu’[il les eût] provoquées, [lui] étaient parvenues des lettres louant au contraire la qualité de ces traductions ». Ayant une « trop grande confiance en Arnold Bennett, … pour ne pas [s’en] tenir à son jugement. La pages suivantes de cette lettre retranscrivent les attendus de l’écrivain anglais. Certes, Bradley pourrait se rendre compte « qu’il n’est pas uniquement louangeur ». Mais, ajoute-t-il, ce qui compte « c’est que la louange l’emporte sur la critique ».

Crédits

Fondation Catherine Gide