Gide, André, Lettre, 1929

Gide explique qu’il a reçu le même jour, trois exemplaires de l’Europäische Revue, où a paru, en allemand, son Montaigne. Il dit qu’ayant « un flair tout particulier de tomber à pic sur les misprints et sur les pailles », il cite alors comment on est venu à traduire certaine phrase par laquelle se termine son étude. Il y souligne notamment « Le sol s’élève peu à peu ». Il demande à son ami de lire la traduction. La phrase ci-dessus rapportée lui a sauté aux yeux. Et s’il envoie « ce numéro c’est pour que [Bertaux s’en amuse] un peu ».