Lettre d’André Gide à Alfred Vallette, du 3 août 1930, envoyée de Cuverville-en-Caux, 1 feuillet dactylographié sans signature autographe.
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Gide est en admiration, « à chaque occasion, [de] la promptitude, [de] l’exactitude, et [de] la gentillesse » des réponses de Vallette. Et il ajoute : « Mais, décidément, dans le métier, il n’y a qu’un seul Vallette ». S’il trouve les remarques, dites précédemment, « des plus justes », il n’en estime pas moins que négocier à 10 % du prix la part qui lui revient, est un peu faible. Ses « dernières publications, luxe » lui laissent à penser que le tirage fixé par Kra serait « promptement épuisé ». Aussi tranche-t-il à 12 % et c’est sur cette base qu’il invite Vallette à négocier avec Pierre-Quint.
Fondation Catherine Gide