Lettre d’André Gide à Justizrat Siegfried Adler, du 25 juillet 1930, envoyée de Cuverville-en-Caux, 1 feuillet dactylographié sans signature autographe
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Dans sa lettre du 16 juillet 1930, le conseiller juridique de Ernest Robert Curtius, sollicitait de Gide qu’il consente à réduire les honoraires que la DVA [Deutsche Verlags Anstalt], [voir ce nom] devait lui attribuer sur une traduction en cours, réduction qui les ferait passer de 10 à 7,5 %. Dans sa réponse, Gide apporte son consentement, en élargissant l’assiette à 7 % « si cela est nécessaire, et d’autant plus volontiers que [lui-même avait] d’abord proposé cet arrangement » ; ainsi cela permettra-t-il à l’affaire de se conclure au mieux, car il « attache grand prix à l’excellence [de la traduction de Curtius] ».
Fondation Catherine Gide