Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 20 janvier [lire février] 1951, envoyée de Paris, 1, boulevard Henri IV, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.
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Détails
Cette lettre rappelle l’attachement profond du signataire à la personne de Gide. Depuis qu’il a appris sa mort, il est « brisé », « glacé », éprouvant « une peur — peur de [sa] solitude, un peu accrue ». Il jure de ne jamais oublier l’écrivain à qui, prétend-il, il doit beaucoup : à « mieux vivre ». Et, du coup, dans ce deuil, il « réalise » la « perfection et la profondeur » d’une pensée qui l’a aidé à « être responsable de lui-même ».
Fondation Catherine Gide