Lettre de condoléances à Catherine Gide, après le décès d’André Gide, non datée [probablement 21 ou 22 février 1951], envoyée de Paris, 52bis, rue de Varenne, VIIe, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi non affranchie.
Archive non numérisée – en savoir plus
Détails
Green « ne trouve rien à dire qui ne [lui] paraisse affreusement insuffisant ». Il rappelle la place que Gide « tenait dans [son] affection » et sa grande tristesse lui permet d’appréhender la souffrance de Catherine Gide.
Fondation Catherine Gide