Article daté du 30 juin 1955, signé Madeleine Jacob, intitulé « La littérature ne nourrit pas ses héritiers », 1 coupure de presse, 2 colonnes.
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Pour l’auteur, « l’héritière d’André Gide,... est en grand souci. » Si, est-il ajouté, « Mme Lambert a payé les droits qui lui étaient réclamés,..., elle n’a pas calculé d’avance » ce qui eût dû lui échoir aux yeux de l’administration. « Comment l’aurait-elle fait ? » s’exclame la journaliste qui donne ensuite la parole à Me Maurice Garçon, « le brillant académicien ». La démonstration du défenseur tend à prouver, écrit-elle, que les droits d’auteur ne vivent pas plus longtemps que les roses. Madeleine Jacob offre à ses lecteurs quelques aperçus de la plaidoirie dudit conseil. Elle fait valoir également l’exposé de la partie adverse, en la personne de Me Héraud. En tout cas « pour examiner ce problème de finances et de littérature, le tribunal décide de réfléchir jusqu’au 13 juillet ».
Fondation Catherine Gide