Lettre à André Gide, du 23 juin 1935, envoyée de Tokyo, Japon, « Daï-Ichi-Shobo, Sanban-cho, Kojimachi-Ku », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe, et jointe à cette missive, une carte de visite ainsi conçue : « Dai-Ichi Shobô, publishers, 1 Sanvanchô, Kôjimachi-ku, Tokio ».
Détails
Là aussi, il est question de la publication des Œuvres complètes de Gide, mais en 1935, La traduction, en japonais, de celles-ci serait achevée « d’ici peu » ; ce travail, annonce le signataire, entraînera une « influence prédominante sur [les] jeunes intellectuels [japonais] », et « ne manquera pas de stimuler la jeune littérature japonaise ». Que Gide veuille bien s’entretenir sur cette question avec Malraux et Paulhan ; en tout cas, Komatz est persuadé que Gide voudra bien « apporter [son] soutien moral, si nécessaire à la réalisation de [cette] entreprise ».
Fondation Catherine Gide