Lettre à André Gide, non datée [l’enveloppe jointe indique 2 juin 1895], « dimanche matin », envoyée de Paris, 1 feuillet ms.
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Détails
Gide sait les « sentiments de profonde et vraie amitié » que Régnier lui voue. Aussi ne peut-il que deviner ce qu’il ressent après le décès de sa mère. « Ce sont des heures cruelles » et il les a « souffertes ». Si un service funèbre était organisé, qu’il soit surtout averti, il aimerait y assister.
Fondation Catherine Gide