Lettre à André Gide, du 20 décembre [19]18, envoyée de Toulouse, caserne Niel — 220e régiment d’infanterie, 4 feuillets ms. R/V.
Détails
Rivière remercie Gide d’être intervenu auprès de Fontaine à propos de sa « démobilisation ». Il est excité. « De mystérieuses voix [lui] chantent [son] devoir à l’oreille ». Oui, comme Gide, il pense qu’il faut éradiquer les mauvaises herbes, car « il faut une plate-forme absolument nette ». Il a hâte de regagner Paris et ainsi d’aller le saluer.
Fondation Catherine Gide