Lettre de condoléances à Catherine Gide à la suite du décès d’André Gide, du 25 février 1951, envoyée de Saint-Maurice, Seine, « 226, rue du Général Leclerc », 1 feuillet ms.
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Détails
Le signataire se définit, comme un parfait « inconnu ». S’il écrit, c’est pour « dire la peine et la profonde tristesse [qu’il] ressent depuis la mort,... d’André Gide ». C’est un vide, et « rien ne pourra le combler ». Toute sa vie, prétend-il, l’image de l’écrivain sera présente à son esprit. Gide ne fut pas à proprement parler « un ami » mais un « alter ego ». Et il regrette de n’avoir pu le connaître personnellement du temps de sa jeunesse. Il ne doute pas qu’il en eût été « compris ». Ce fut cependant « un guide précieux ». Aussi, dans son deuil, il ne lui reste plus qu’à « s’incliner profondément ».
Fondation Catherine Gide