Lettre à André Gide, du 3 mai 1938, envoyée de Lambersart, « 1, avenue Derville", 2 feuillets ms.
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Détails
Le signataire tutoie Gide à qui il annonce avoir reçu « un livre d’Yvon sur l’URSS » que Gide a préfacé. Il ne connaît pas Jef [Last], mais il souhaite rien tant que de le « chérir comme un père » après ce qui a été dit de lui. Et ses belles lettres d’Espagne ! Un petit écho de presse lui apprend qu’un « deuil très cruel » vient de frapper Gide. Qu’en est-il ? Il s’en sent accablé lui qui pense à son aîné « avec amour et affection ». En P. S., il demande à Gide de lui dire ce qu’il pense de l’« affreuse » situation internationale.
Fondation Catherine Gide