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I(1)-02-d
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Extrait de presse tirée du Figaro littéraire, du 18 février 1961 comportant plusieurs pages, dont voici le détail ; 1) « Le grain ne meurt pas » de Louis Martin-Chauffier, en pages 1 et 12 de l’hebdomadaire, précédé d’une photographie d’André Gide ainsi légendée : « 1950 : un des derniers portraits d’André Gide, suivant de la salle la répétition des Caves du Vatican qui viennent d’entrer au répertoire de la Comédie-Française », et suivi d’un croquis dont la légende est : « Le portrait mortuaire d’André Gide, par André Bourdil. C’est une mine de plomb sur bristol crème », 2 feuillets imprimés, respectivement 3 colonnes et 5 colonnes ; 2) « Avec André Gide en Tunisie, Souvenirs inédits », d’Armand Guibert en page 11 de la publication, accompagnée d’une photographie, ainsi légendée : « Le patio aux orangers où Gide venait souvent s’asseoir. De la terrasse de la villa, la vue plonge sur le golfe de Carthage », 1 feuillet imprimé, 6 colonnes ; 3) « Jammes et Gide à travers leurs œuvres… et leur amitié », de Robert Mallet, en page 12, accompagné d’une photographie, légendée : « [André Gide] en novembre 1950, à la Comédie-Française, donnant à ses interprètes, le ton exact d’une réplique », 1 feuillet imprimé, 7 colonnes

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I(1)-02-f
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Extrait de presse tiré de Lectures pour tous, Je sais tout, n° 86, mensuel, du mois de février 1961 ; article de Roger Martin du Gard, consacré au dixième anniversaire de la mort d’André Gide, intitulé « André Gide au naturel », précédé d’une photographie pleine page de Karl W. Gullers montrant Gide, au soir de sa vie, fumant la tête enfoncée dans un béret, légèrement de profil, une écharpe nouée autour du cou, 4 feuillets imprimés, format magazine, 3 colonnes chacun avec cinq illustrations : 1) « Jean-Paul Sartre chez Gide, à Cuverville, d’autres publications de cette photographie mentionnent Cabris. Le pape de l’existentialisme a rendu visite à l’un des maîtres à penser de la génération précédente » ; 2) « Les quatre grands de La Nouvelle Revue française. Derrière André Gide et de gauche à droite Jean Schlumberger, Jacques Rivière et Roger Martin du Gard ; 4) « Docteur honoris causa de l’Université d’Oxford : "comment résister à l’amusement de s’affubler d’une toge et d’un bonnet carré ?" » ; 5) Gide lisant un journal, cigarette entre les doigts : « André Gide aimait à dire qu’à mesure que son visage se couvrait de rides, son âme se déridait » ; 6) « Obsèques rustiques de l’écrivain à Cuverville : "J’ai horreur des enterrements" avoue Gide dans son dernier ouvrage, dont le titre Ainsi soit-il témoigne d’une sereine acceptation de la mort toute proche ». Le long article de Martin du Garde débute ainsi : « Enfin j’ai fait la connaissance d’André Gide ! ». Cela se passait en novembre 1913 ; ces souvenirs sont divisés par dates ; outre « Novembre 1913 », on relève 1) La lumière et les ombres « décembre 1920 », « juillet 1922 » ; 2) Le voyageur capricieux, « janvier 1923 » ; 3) L’idiot du village ; 4) Flâner en travaillant [avec un petit encadré intitulé « Gide et de Gaulle », tiré de Gide vivant de Jean Cocteau, Amiot-Dumand éditeur] ; 5) Le supplice des amis « 1937 » ; 6) L’être ou ne pas l’être, « Paris, mai 1947 » ; 7) La fin d’un sage, « mai 1949 », [avec un encadré, « son dernier message »] ; 8) Paris, lundi 19 février 1951