Archives de la Fondation

7 documents
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Type de texte
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G-07-e
Description

Document d’Électricité de France, du 18 février 1951, fait à Paris, « Section Rennes, 76 bis, rue de Rennes, Paris 6e », dressé par Cheret et Maheu, où il est établi que, pour les besoins du film de Marc Allégret, André Gide, sur les lieux de sa résidence de la rue Vaneau, il a été dépensé 1 077 frs de frais d’énergie, 1 feuillet imprimé

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R-07-u
Description

Lettre-relevé de compte à André Gide, du 30 juin 1951, aux bons soins des Éditions Calmann-Lévy, sur papier à en-tête « Hamish Hamilton, ltd, Publishers », écrite en anglais, envoyée de Londres, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe

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R-07-v
Description

Lettre-relevé de compte à André Gide, du 31 décembre 1951, aux bons soins des Éditions Calmann-Lévy, sur papier à en-tête « Hamish Hamilton, ltd, Publishers », écrite en anglais, envoyée de Londres, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe

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V5-03-c
Description

Relevé des comptes d’André Gide, à la NRF, arrêté au 30 juin 1951, 6 feuillets dactylographiés sur papier à en-tête N. R. F. Lorsque le présent relevé sort des services de comptabilité de la maison Gallimard, Gide est mort depuis quatre mois. On pourra voir, dans cet ouvrage, aux rubriques qui en traitent, le retentissement universel de cette disparition. A-t-elle eu un effet dynamique sur les ventes, on ne saurait l’affirmer avec certitude puisque les données sont annuelles. En tout cas, les droits d’auteur de l’écrivain sont légèrement supérieurs à ceux qui lui furent reconnus pour l’année 1949-1950. Ils sont, en effet, de l’ordre de 12 348.728 frs de l’époque, soit un peu moins de 200 000 frs. Les droits venus de l’étranger ont, par contre, cru : ils passent à 1 724.162 frs, soit environ 15 % du total. On remarque que la correspondance avec Francis Jammes a suscité l’intérêt d’un éditeur allemand. Cependant le panel des traductions s’est élargi : des éditeurs anglo-saxons, néerlandais, scandinaves, latino-américains et italiens ont versé des droits pour reproduire, dans leur langue respective, l’un ou l’autre titre gidien. Les Nourritures terrestres font l’objet d’une attention spéciale, puisque plusieurs éditions de luxe sont en cours. Quant à l’édition française, et, ici, celle de la NRF, elle renouvelle les scores honorables réalisés lors de la vente de certains ouvrages. On notera pour rappel, La Symphonie pastorale, 7 200 en édition blanche et près de 4 500 en édition pourpre ; les plus fortes ventes sont, par ordre décroissant : Les Caves du Vatican, 10 000 en collection blanche, 30 000 en collection pourpre, 6 365 pour la pièce qui en a été tirée, 1 400 ex. en édition reliée ; L'École des femmes, 3 000 en collection blanche et 30 000 en collection pourpre ; 5 000 ex. pour le Journal en collection blanche, 10 000 ex. en Pléiade, 410 en édition reliée ; et 13 800 ex. pour Les Nouvelles Nourritures terrestres ; 3 500 ex. pour Corydon ; 3 000 ex. pour Si le grain ne meurt ; 2 300 ex. pour Le Voyage d’Urien ; 2 250 ex. pour Le Retour de l’enfant prodigue ; 1 800 ex. pour Thésée ; 1 600 ex. pour Paludes ; 1 500 ex. pour Retour du Tchad. Les plus faibles ventes concernent les Interviews imaginaires, 250 ex. ; le Théâtre, 100 ex. ; L'Anthologie, 103 ex.. Il n’est toujours pas fait mention des Faux-monnayeurs.