Paris, 13/05/1969 – 1 feuillet dactylographié signé
Lettre de Georges Pompidou, président de la République française, à Catherine Gide [domiciliation « Association des Amis d’André Gide », 17, rue de l’Université, Paris VIIe], sur papier à en-tête « Le Président de la République » du 24 novembre 1969, 1 feuillet dactylographié avec signature et deux lignes autographes. Enveloppe jointe, avec en-tête « Le Président de la République ».
Extrait de presse tiré du Figaro littéraire, paru à l’occasion du centenaire de la naissance d’André Gide ; il s’agit du numéro complet en date du 18-24 août 1969. Les pages consacrées à Gide, outre celle de la couverture, en couleurs, qui représente Gide la tête inclinée, que soutient la main droite, dans une posture d’homme pensant, sur laquelle se détachent, en lettres capitales, « André Gide 1869-1969 », sont au nombre de 6 feuillets imprimés. La première de ces contributions, et de loin la plus longue est due à Louis Martin-Chauffier qui la signe sous cet intitulé : « Un génie de la contradiction, 2 feuillets, 4 colonnes et 1 colonne au feuillet suivant, photographie sépia illustrant Gide en compagnie de Julien Benda et André Malraux » ; la deuxième est due à Robert Mallet ; son article s’intitule : « Plus de désirs que de desseins, 1 feuillet, 4 colonnes, photographie illustrant Gide et Mme Théo Van Rysselberghe, fumant » ; la troisième est celle de Jean Grenier qui titre : « Son souci ? Exalter l’effort humain, 1 feuillet, 3 colonnes, avec photographie de Gide, "une promenade aux environs de Cuverville" »; la quatrième contribution est de Henri Rambaud ; elle s’intitule, « Gide tel qu’il se savait, 2 feuillets, 5 colonnes, avec photographie de Gide et de sa fille et de ses petits-enfants »
Extrait de presse tiré du Nouvel Observateur du 17 novembre 1969 à l’occasion du Centenaire de la naissance d’André Gide ; l’article, signé André Fermigier, s’intitule « Gide devant la cour », 4 feuillets imprimés, 4 colonnes chacun. Plusieurs photographies illustrent cette contribution : 1) André Gide à 20 ans, légendée « Des fantaisies esthétiques » ; 2) Gide au piano, légendée « Asiatique et déhanché » ; et un croquis, légendé « Gide vu par David Lévine » ; Fermigier divise son article en plusieurs titres : « Hideux applaudissements ; Le grand frond Malempia ; Sensible au mystère » ; et tirés du Journal, quelques extraits, sur Valéry, Claudel, Cocteau, Mauriac, Martin du Gard, Guehenno, Freud, Proust, Malraux, De Gaulle ; deux colonnes, intitulées « Morale » et « Mœurs » contenant des citations, toujours extraites du Journal, complètent cet ensemble.
Article de présentation de la soirée organisée par la Comédie-Française en hommage au Centenaire de la naissance d’André Gide, donnée au Théâtre français, le 14 décembre 1969.
Article de François Mauriac consacré au centenaire de la naissance de Gide, dans le cadre de son « Bloc-notes », du Figaro littéraire, du 27 octobre 1969
« Soirée André Gide » à la Comédie-Française, 14 décembre 1969 à 21 heures. Formulaire de location en double exemplaires