Lettre à André Gide, du 15 novembre 1947, envoyée de Paris, 2 feuillets ms.
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Bien qu’il ne lise que très rarement les journaux et qu’il n’écoute jamais la radio, Fontainas s’est fait rapporter l’annonce du Prix Nobel. Aussi sa joie est-elle « profonde ». Du reste, il ne « conn[aît] point qui [lui] paraisse mériter d’être opposé [à Gide] » et, « parmi les Français, [il n’en] aperçoit aucun ». Fontainas serre « les deux mains [de l’écrivain] de toute la force de [leur], déjà vieille sympathie ».
Fondation Catherine Gide