Lettre à André Gide, du 9 juillet 1927, sur papier à en-tête « Muséum National d’Histoire Naturelle/Pêches et productions coloniales d’origine animale/87, rue Cuvier, Paris Ve », 1 feuillet ms. R
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épondant à une lettre de Gide, Théodore Monod dit qu’il serait heureux de le rencontrer et de lui montrer une suite d’aquarelles qui « illustre — strophe par strophe — "ma ballade de mes heures africaines" ». Il annonce, par ailleurs, que le premier ouvrage sur les poissons et les pêches du Cameroun, dont il est l’auteur, est sous presse. Il aimerait, en tant que naturaliste, rejoindre une mission dans le Hoggar mais il craint que le projet ne puisse être exécuté. Il ajoute enfin à quel point le désert mauritanien l’a marqué.
Fondation Catherine Gide
