Lettre de condoléances adressée à Jean Lambert, après la mort d’André Gide, du 23 février [19]51, envoyée de Biarritz, 22, rue des Rochers, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.
Détails
Mariano Andreu déplore que le « grand homme, l’écrivain » ne soit plus. Il « admirait ce magnifique sanglier solitaire qui, jamais, [ne] se conformait et [était] toujours prêt à foncer contre bêtise et laideur, jeune à jamais et au fond, et malgré tout, généreux avec ce [sic] qui méritait ». Gide, ajoute-t-il, reste en lui comme la « résonance d’une éternelle aventure ». Il offre [ses] « deux mains ».
Fondation Catherine Gide