Lettre-carte de visite, à André Gide, sans date, « dimanche », ni lieu d’envoi, 1 feuillet ms. R/V.
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Balkis réagit à la traduction de Gide du poème de Blake, Le Mariage du Ciel et de l’Enfer. Elle nous apprend que « déjà, Charles Boileau, en 1900 [l’]avait révélé — cet admirable chant de liberté ». Mais que Gide ait traduit cet ouvrage « pour l’amour de certaines phrases », ne devrait pas l’empêcher « pour l’amour de la vie, [de] méditer certaines autres... ».
Fondation Catherine Gide