Lettre à André Gide, du 15 octobre 1923, envoyée de Sèvres, 106, rue Brancay, 1 feuillet ms. R/V.
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Détails
On a demandé à Bertaux un article sur « Gide et l’Allemagne ». Il aimerait le revoir à cette occasion, « afin de ne rien oublier ». Il n’a cependant pas l’impression que l’écrivain doive davantage « à l’Allemagne qu’aux Anglais ou aux Russes ». Il s’agace de ce que la succession des curiosités, dans l’ordre chronologique aient été confondues avec des influences. Il a appris, par Drouin, qu’un cyclone a abattu de « beaux arbres à Cuverville » et il se « rappelle volontiers leur balancement, leur élan déployé ». Secrète jubilation d’avoir été de ceux qui ont lu en avant-publication des extraits des Faux-monnayeurs.
Fondation Catherine Gide