Bertaux, Félix, Lettre, 1927

La lettre de Bertaux est presque tout entière consacrée aux « notes de voyage » [Voyage au Congo...] dont la troisième livraison vient de paraître, [dans La NRF]. Bertaux se dit « comblé dans son espérance » et attend la suite. Par ailleurs, il est « agréablement touché de ce qu’autour [de lui] des lecteurs de Si le grain ne meurt aient pris le livre « comme il fallait le prendre ». Il prend le pari que de telles impressions seraient « celles que pourront avoir des lecteurs du prochain siècle ». Jules Supervielle a l’intention de s’enfoncer dans le sud tunisien ; Bertaux demande si Gide ne pourrait lui recommander quelque adresse. [Gide a inscrit, en marge de ce post scriptum, un numéro de téléphone]