Lettre à André Gide, du 1er juillet 1928, envoyée de Sèvres, 106, rue Brancay, 1 feuillet ms. R/V.
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Détails
Bertaux s’excuse d’avoir été si long à donner de ses nouvelles. Sa femme a été opérée. Elle se remet lentement. Il se croyait plus jeune et, à cette occasion, se découvre « vieilli ». Par contre, la présence de son fils, Pierre, à la vertu « d’un merveilleux tonique ». Il aimerait que Gide lui envoie un mot, mais l’assure aussitôt qu’il ne serait « jamais de ceux qui déplorent de [le ] voir leur échapper ».
Fondation Catherine Gide