Lettre de condoléances adressée à « la famille Gide », après le décès d’André Gide, du 24 février 1951, envoyée de Nîmes, 10, rue de la Vierge, 2 feuillets ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.
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Détails
L’expéditeur, adoptant un pronom personnel neutre, dit que Gide a été « le dernier humaniste », l’homme d’une génération « de [ses] vingt ans et de [sa] vieillesse », le « dernier homme de la littérature ». Gide mort, c’est en fait « la mort d’un ami ou d’un parent proche » qu’il faut pleurer. En conclusion, il promet de réhabiliter « son esprit auprès des sceptiques ».
Fondation Catherine Gide