Lettre à André Gide, du 29-30 août [18]92, envoyée de Bayreuth, Allemagne [cotée 1-143] 1 feuillet dactylographié
Archives André Gide
18502 documentsLettre à André Gide, du 8 septembre [18]92, envoyée de Paris, [cotée 1-144] 1 feuillet dactylographié
courrier à André Gide, du 8 septembre [18]92, coupures de presse de L’Indépendance roumaine, Bucarest, 17 août et 5 septembre 1892, [cotée 1-146] 1 feuillet dactylographié
Lettre-billet à André Gide, du 7 juin [18]92, [cotée 1-92] 1 feuillet dactylographié
Lettre à André Gide, du 26 septembre [18]92, [cotée 1-147] 1 feuillet dactylographié
Lettre à André Gide, du 26 septembre [18]92, [cotée 1-148] 1 feuillet dactylographié
Lettre à André Gide, du 29 novembre [18]92, [cotée 1-149] 1 feuillet dactylographié
Lettre à André Gide, du 1er octobre [18]92, [cotée 1-150] 1 feuillet dactylographié
Lettre à André Gide, du 6 octobre [18]92, [cotée 1-151] 1 feuillet dactylographié
Extrait de presse tirée du Figaro littéraire, du 18 février 1961 comportant plusieurs pages, dont voici le détail ; 1) « Le grain ne meurt pas » de Louis Martin-Chauffier, en pages 1 et 12 de l’hebdomadaire, précédé d’une photographie d’André Gide ainsi légendée : « 1950 : un des derniers portraits d’André Gide, suivant de la salle la répétition des Caves du Vatican qui viennent d’entrer au répertoire de la Comédie-Française », et suivi d’un croquis dont la légende est : « Le portrait mortuaire d’André Gide, par André Bourdil. C’est une mine de plomb sur bristol crème », 2 feuillets imprimés, respectivement 3 colonnes et 5 colonnes ; 2) « Avec André Gide en Tunisie, Souvenirs inédits », d’Armand Guibert en page 11 de la publication, accompagnée d’une photographie, ainsi légendée : « Le patio aux orangers où Gide venait souvent s’asseoir. De la terrasse de la villa, la vue plonge sur le golfe de Carthage », 1 feuillet imprimé, 6 colonnes ; 3) « Jammes et Gide à travers leurs œuvres… et leur amitié », de Robert Mallet, en page 12, accompagné d’une photographie, légendée : « [André Gide] en novembre 1950, à la Comédie-Française, donnant à ses interprètes, le ton exact d’une réplique », 1 feuillet imprimé, 7 colonnes
Extrait de presse, tiré de France-Illustrations, non daté mais qu’on peut fixer à 1950, signé André Rousseaux, intitulé « À la bibliothèque Sainte-Geneviève : Exposition André Gide », 2 feuillets imprimés et 9 photographies, six des neuf clichés sont consacrés à l’exposition, un autre illustre « André Gide plongé avec Marc Allégret dans les problèmes du jeu d’échecs » ; les deux derniers montre l’un, les deux mains de Gide tenant un livre ouvert devant une bibliothèque, l’autre étant un portrait de Gide, en manteau, écharpe ouverte, allumant une cigarette.
Extrait de presse tiré de Lectures pour tous, Je sais tout, n° 86, mensuel, du mois de février 1961 ; article de Roger Martin du Gard, consacré au dixième anniversaire de la mort d’André Gide, intitulé « André Gide au naturel », précédé d’une photographie pleine page de Karl W. Gullers montrant Gide, au soir de sa vie, fumant la tête enfoncée dans un béret, légèrement de profil, une écharpe nouée autour du cou, 4 feuillets imprimés, format magazine, 3 colonnes chacun avec cinq illustrations : 1) « Jean-Paul Sartre chez Gide, à Cuverville, d’autres publications de cette photographie mentionnent Cabris. Le pape de l’existentialisme a rendu visite à l’un des maîtres à penser de la génération précédente » ; 2) « Les quatre grands de La Nouvelle Revue française. Derrière André Gide et de gauche à droite Jean Schlumberger, Jacques Rivière et Roger Martin du Gard ; 4) « Docteur honoris causa de l’Université d’Oxford : "comment résister à l’amusement de s’affubler d’une toge et d’un bonnet carré ?" » ; 5) Gide lisant un journal, cigarette entre les doigts : « André Gide aimait à dire qu’à mesure que son visage se couvrait de rides, son âme se déridait » ; 6) « Obsèques rustiques de l’écrivain à Cuverville : "J’ai horreur des enterrements" avoue Gide dans son dernier ouvrage, dont le titre Ainsi soit-il témoigne d’une sereine acceptation de la mort toute proche ». Le long article de Martin du Garde débute ainsi : « Enfin j’ai fait la connaissance d’André Gide ! ». Cela se passait en novembre 1913 ; ces souvenirs sont divisés par dates ; outre « Novembre 1913 », on relève 1) La lumière et les ombres « décembre 1920 », « juillet 1922 » ; 2) Le voyageur capricieux, « janvier 1923 » ; 3) L’idiot du village ; 4) Flâner en travaillant [avec un petit encadré intitulé « Gide et de Gaulle », tiré de Gide vivant de Jean Cocteau, Amiot-Dumand éditeur] ; 5) Le supplice des amis « 1937 » ; 6) L’être ou ne pas l’être, « Paris, mai 1947 » ; 7) La fin d’un sage, « mai 1949 », [avec un encadré, « son dernier message »] ; 8) Paris, lundi 19 février 1951
Extrait de presse tiré de L'Express, du 7 janvier 1960, à la suite de la mort d’Albert Camus, signé Jean Daniel, intitulé « Albert Camus, parlons de lui », 3 feuillets imprimés, 4 colonnes chacun avec 4 photographies représentant, toutes, Camus
Extraits de presse tiré de France Observateur du 7 janvier 1960, à la suite de la mort d’Albert Camus, signé Jean-Paul Sartre, intitulé « Albert Camus », 1 feuillet imprimé, 3 colonnes et photographie de Camus ; et au verso, de Claude Bourdet, « Camus ou les mains propres », 1 feuillet imprimé, 4 colonnes avec, en cliché, le premier numéro de Combat
Numéro complet des Annales, Revue mensuelle des Lettres françaises [Novembre 1969, nouvelle série n° 229].
Extrait de presse tiré d’un titre inconnu, sans date et sans nom du ou des signataires, puisque n’existe que la part du feuillet arraché, comportant trois titres, « Amoureux des demoiselles de Supervielle » ; « Gide en vieux lama thibétain » ; « Aragon le torero » ; « Gide en vieux lama thibétain », peut-être composé à l’occasion du centenaire de la naissance [portrait d’un Gide en chandail dont la voix, la diction musicale étaient celles d’un « vieux sociétaire du Théâtre-français qui aurait fait ses études à Oxford, mais filtré[es] par la dure mâchoire »]
Extrait de presse tiré du quotidien montréalais Le Devoir, en date du 14 novembre 1969, inséré dans son « Supplément littéraire », à l’occasion du centenaire de la naissance d’André Gide.
Extrait de presse tiré du Figaro littéraire, paru à l’occasion du centenaire de la naissance d’André Gide ; il s’agit du numéro complet en date du 18-24 août 1969. Les pages consacrées à Gide, outre celle de la couverture, en couleurs, qui représente Gide la tête inclinée, que soutient la main droite, dans une posture d’homme pensant, sur laquelle se détachent, en lettres capitales, « André Gide 1869-1969 », sont au nombre de 6 feuillets imprimés. La première de ces contributions, et de loin la plus longue est due à Louis Martin-Chauffier qui la signe sous cet intitulé : « Un génie de la contradiction, 2 feuillets, 4 colonnes et 1 colonne au feuillet suivant, photographie sépia illustrant Gide en compagnie de Julien Benda et André Malraux » ; la deuxième est due à Robert Mallet ; son article s’intitule : « Plus de désirs que de desseins, 1 feuillet, 4 colonnes, photographie illustrant Gide et Mme Théo Van Rysselberghe, fumant » ; la troisième est celle de Jean Grenier qui titre : « Son souci ? Exalter l’effort humain, 1 feuillet, 3 colonnes, avec photographie de Gide, "une promenade aux environs de Cuverville" »; la quatrième contribution est de Henri Rambaud ; elle s’intitule, « Gide tel qu’il se savait, 2 feuillets, 5 colonnes, avec photographie de Gide et de sa fille et de ses petits-enfants »
Extrait de presse tiré du Figaro littéraire ; il s’agit du numéro complet en date du 12-18 janvier 1970. Le dossier que présente le magazine est consacré à Gide-Simenon, sous la signature de Gaëton Picon ; il s’intitule ; « Quand Gide écrivait à Simenon, 1938-1950 » outre la page de couverture, dont une colonne évoque la teneur dudit dossier, photographies de Gide et de Simenon, avec cette bande : « Gide : notre plus grand romancier, c’est Simenon », l’article comprend 4 feuillets, 3 colonnes chacun avec deux photographies de Gide, Gide lisant, allongé sur son lit ; Gide se cravatant ; Simenon tapant à la machine ; Simenon fumant sa pipe devant un panneau à pipes. Picon écrit, d’entrée de jeu : « ? nous ne cherchons pas à obtenir des propositions [de Gide] une vérification supplémentaire et une démonstration réciproque. C’est le rapport d’une telle intelligence critique et d’une telle puissance créatrice qui surprend et instruit ». Suivent la brève présentation de Picon, les lettres de Gide à Simenon en date du 21 décembre 1938, du 6 janvier 1939, du 20 janvier 1939, du 21 août 1942, du 11 décembre 1944, des 12 et 16 février 1948, du 29 novembre 1950. Ces lettres, est-il indiqué, dans un encadré, ont déjà été publiées par la revue anglaise Adam.
Numéro 14 de ce mensuel, paru en janvier 1968. Le dossier du mois est consacré cette fois à Gide, sous le titre général : « Gide sort du purgatoire » ; la couverture reprend quelques photographies de l’écrivain. L’ensemble comprend 20 feuillets imprimés, 3 colonnes chacun avec une série de photographies, 16 de Gide, et d’autres : Valery Larbaud, Oscar Wilde, Henry James, James Joyce, Thomas Mann, John Steinbeck, des étudiants en 1968. En voici le détail : André Gide de l’enfance à la liberté, de Robert Gelly ; « Un texte inconnu : L’Arbitraire », « un texte inconnu » dit le chapeau ; L’oncle dada, d’Ann-Elisabeth Rey ; Mes rencontres avec Gide, de Roger Stéphane ; Gide et la littérature étrangère, tableau divisé en trois colonnes : lectures, travaux, rencontres ; Gide ou le scandale permanent, de Jean-Jacques Brochier ; Gide vu par…, Marcel Arland, Arrabal, Jean Cau, Julien Gracq, Pierre Guyotat, Marcel Jouhandeau, Roger Peyrefitte, Christiane Rochefort, Claude Simon, Philippe Sollers, Marc Allégret [opinions recueillies par Pierre Hann] ; Gide est toujours lu, enquête réalisée par Colette Godard.