Extrait de presse tiré de Lectures pour tous, Je sais tout, n° 86, mensuel, du mois de février 1961 ; article de Roger Martin du Gard, consacré au dixième anniversaire de la mort d’André Gide, intitulé « André Gide au naturel », précédé d’une photographie pleine page de Karl W. Gullers montrant Gide, au soir de sa vie, fumant la tête enfoncée dans un béret, légèrement de profil, une écharpe nouée autour du cou, 4 feuillets imprimés, format magazine, 3 colonnes chacun avec cinq illustrations : 1) « Jean-Paul Sartre chez Gide, à Cuverville, d’autres publications de cette photographie mentionnent Cabris. Le pape de l’existentialisme a rendu visite à l’un des maîtres à penser de la génération précédente » ; 2) « Les quatre grands de La Nouvelle Revue française. Derrière André Gide et de gauche à droite Jean Schlumberger, Jacques Rivière et Roger Martin du Gard ; 4) « Docteur honoris causa de l’Université d’Oxford : "comment résister à l’amusement de s’affubler d’une toge et d’un bonnet carré ?" » ; 5) Gide lisant un journal, cigarette entre les doigts : « André Gide aimait à dire qu’à mesure que son visage se couvrait de rides, son âme se déridait » ; 6) « Obsèques rustiques de l’écrivain à Cuverville : "J’ai horreur des enterrements" avoue Gide dans son dernier ouvrage, dont le titre Ainsi soit-il témoigne d’une sereine acceptation de la mort toute proche ». Le long article de Martin du Garde débute ainsi : « Enfin j’ai fait la connaissance d’André Gide ! ». Cela se passait en novembre 1913 ; ces souvenirs sont divisés par dates ; outre « Novembre 1913 », on relève 1) La lumière et les ombres « décembre 1920 », « juillet 1922 » ; 2) Le voyageur capricieux, « janvier 1923 » ; 3) L’idiot du village ; 4) Flâner en travaillant [avec un petit encadré intitulé « Gide et de Gaulle », tiré de Gide vivant de Jean Cocteau, Amiot-Dumand éditeur] ; 5) Le supplice des amis « 1937 » ; 6) L’être ou ne pas l’être, « Paris, mai 1947 » ; 7) La fin d’un sage, « mai 1949 », [avec un encadré, « son dernier message »] ; 8) Paris, lundi 19 février 1951
Archives André Gide
18502 documentsExtrait de presse tiré de L'Express, du 7 janvier 1960, à la suite de la mort d’Albert Camus, signé Jean Daniel, intitulé « Albert Camus, parlons de lui », 3 feuillets imprimés, 4 colonnes chacun avec 4 photographies représentant, toutes, Camus
Extraits de presse tiré de France Observateur du 7 janvier 1960, à la suite de la mort d’Albert Camus, signé Jean-Paul Sartre, intitulé « Albert Camus », 1 feuillet imprimé, 3 colonnes et photographie de Camus ; et au verso, de Claude Bourdet, « Camus ou les mains propres », 1 feuillet imprimé, 4 colonnes avec, en cliché, le premier numéro de Combat
Numéro complet des Annales, Revue mensuelle des Lettres françaises [Novembre 1969, nouvelle série n° 229].
Extrait de presse tiré d’un titre inconnu, sans date et sans nom du ou des signataires, puisque n’existe que la part du feuillet arraché, comportant trois titres, « Amoureux des demoiselles de Supervielle » ; « Gide en vieux lama thibétain » ; « Aragon le torero » ; « Gide en vieux lama thibétain », peut-être composé à l’occasion du centenaire de la naissance [portrait d’un Gide en chandail dont la voix, la diction musicale étaient celles d’un « vieux sociétaire du Théâtre-français qui aurait fait ses études à Oxford, mais filtré[es] par la dure mâchoire »]
Extrait de presse tiré du quotidien montréalais Le Devoir, en date du 14 novembre 1969, inséré dans son « Supplément littéraire », à l’occasion du centenaire de la naissance d’André Gide.
Extrait de presse tiré du Figaro littéraire, paru à l’occasion du centenaire de la naissance d’André Gide ; il s’agit du numéro complet en date du 18-24 août 1969. Les pages consacrées à Gide, outre celle de la couverture, en couleurs, qui représente Gide la tête inclinée, que soutient la main droite, dans une posture d’homme pensant, sur laquelle se détachent, en lettres capitales, « André Gide 1869-1969 », sont au nombre de 6 feuillets imprimés. La première de ces contributions, et de loin la plus longue est due à Louis Martin-Chauffier qui la signe sous cet intitulé : « Un génie de la contradiction, 2 feuillets, 4 colonnes et 1 colonne au feuillet suivant, photographie sépia illustrant Gide en compagnie de Julien Benda et André Malraux » ; la deuxième est due à Robert Mallet ; son article s’intitule : « Plus de désirs que de desseins, 1 feuillet, 4 colonnes, photographie illustrant Gide et Mme Théo Van Rysselberghe, fumant » ; la troisième est celle de Jean Grenier qui titre : « Son souci ? Exalter l’effort humain, 1 feuillet, 3 colonnes, avec photographie de Gide, "une promenade aux environs de Cuverville" »; la quatrième contribution est de Henri Rambaud ; elle s’intitule, « Gide tel qu’il se savait, 2 feuillets, 5 colonnes, avec photographie de Gide et de sa fille et de ses petits-enfants »
Extrait de presse tiré du Figaro littéraire ; il s’agit du numéro complet en date du 12-18 janvier 1970. Le dossier que présente le magazine est consacré à Gide-Simenon, sous la signature de Gaëton Picon ; il s’intitule ; « Quand Gide écrivait à Simenon, 1938-1950 » outre la page de couverture, dont une colonne évoque la teneur dudit dossier, photographies de Gide et de Simenon, avec cette bande : « Gide : notre plus grand romancier, c’est Simenon », l’article comprend 4 feuillets, 3 colonnes chacun avec deux photographies de Gide, Gide lisant, allongé sur son lit ; Gide se cravatant ; Simenon tapant à la machine ; Simenon fumant sa pipe devant un panneau à pipes. Picon écrit, d’entrée de jeu : « ? nous ne cherchons pas à obtenir des propositions [de Gide] une vérification supplémentaire et une démonstration réciproque. C’est le rapport d’une telle intelligence critique et d’une telle puissance créatrice qui surprend et instruit ». Suivent la brève présentation de Picon, les lettres de Gide à Simenon en date du 21 décembre 1938, du 6 janvier 1939, du 20 janvier 1939, du 21 août 1942, du 11 décembre 1944, des 12 et 16 février 1948, du 29 novembre 1950. Ces lettres, est-il indiqué, dans un encadré, ont déjà été publiées par la revue anglaise Adam.
Numéro 14 de ce mensuel, paru en janvier 1968. Le dossier du mois est consacré cette fois à Gide, sous le titre général : « Gide sort du purgatoire » ; la couverture reprend quelques photographies de l’écrivain. L’ensemble comprend 20 feuillets imprimés, 3 colonnes chacun avec une série de photographies, 16 de Gide, et d’autres : Valery Larbaud, Oscar Wilde, Henry James, James Joyce, Thomas Mann, John Steinbeck, des étudiants en 1968. En voici le détail : André Gide de l’enfance à la liberté, de Robert Gelly ; « Un texte inconnu : L’Arbitraire », « un texte inconnu » dit le chapeau ; L’oncle dada, d’Ann-Elisabeth Rey ; Mes rencontres avec Gide, de Roger Stéphane ; Gide et la littérature étrangère, tableau divisé en trois colonnes : lectures, travaux, rencontres ; Gide ou le scandale permanent, de Jean-Jacques Brochier ; Gide vu par…, Marcel Arland, Arrabal, Jean Cau, Julien Gracq, Pierre Guyotat, Marcel Jouhandeau, Roger Peyrefitte, Christiane Rochefort, Claude Simon, Philippe Sollers, Marc Allégret [opinions recueillies par Pierre Hann] ; Gide est toujours lu, enquête réalisée par Colette Godard.
Extrait de presse tiré du Nouvel Observateur du 17 novembre 1969 à l’occasion du Centenaire de la naissance d’André Gide ; l’article, signé André Fermigier, s’intitule « Gide devant la cour », 4 feuillets imprimés, 4 colonnes chacun. Plusieurs photographies illustrent cette contribution : 1) André Gide à 20 ans, légendée « Des fantaisies esthétiques » ; 2) Gide au piano, légendée « Asiatique et déhanché » ; et un croquis, légendé « Gide vu par David Lévine » ; Fermigier divise son article en plusieurs titres : « Hideux applaudissements ; Le grand frond Malempia ; Sensible au mystère » ; et tirés du Journal, quelques extraits, sur Valéry, Claudel, Cocteau, Mauriac, Martin du Gard, Guehenno, Freud, Proust, Malraux, De Gaulle ; deux colonnes, intitulées « Morale » et « Mœurs » contenant des citations, toujours extraites du Journal, complètent cet ensemble.
Extraits de presse tirés des Nouvelles littéraires, en date 13 novembre 1969, consacrés à Gide, à l’occasion du Centenaire de la naissance d’André Gide ; le numéro est complet : il comprend 14 feuillets imprimés ; les articles sur Gide s’étalent sur 4 feuillets. Les contributions sont de Jean-Louis Curtis, Marcelle Schveitzer, Marcel Schneider, Jean Mouton, Pierre de Boisdeffre, Robert Courtine. Le feuillet d’ouverture de ce numéro des Nouvelles littéraires se partage deux signatures : Jean-Louis Curtis pour « Le dernier Guru », 3 colonnes qui se prolongent en page 12, elles occupent alors un demi-feuillet, format du Figaro sur 7 colonnes ; et Marcelle Schveitzer pour « Retour aux oasis », 3 colonnes qui se prolongent sur toute la page 10, 7 colonnes.
Numéro spécial, du printemps 1969, consacré à André Gide, avec de multiples interventions d’auteurs suisses, 36 feuillets imprimés ; la couverture représente une carte zodiacale relative à Gide. Outre l’avant-propos de Frédéric Eigeldinger et de Roland Kaehr, nous remarquons les contributions de René Albérès, professeur à l’Université, Fribourg ; Roger Bastide, professeur à l’École Pratique des Hautes Études à Paris ; Léon Bopp, écrivain ; René Bovard, objecteur de conscience à Genève ; Marc Eigeldinger, professeur à l’Université de Neuchâtel ; Jean Estéoule, éditeur ; Claude Frochaux, écrivain ; Melvin Gallant, professeur à Moncton, Canada ; Laurent Ganebin, pasteur à Paris ; Henri Giordan, à Fribourg ; Jean Blaize Grise, professeur à l’Université, Neuchâtel ; Pierre Hirsch, professeur à La-Chaux-de-Fonds ; Philippe Jaccottet ; Pierre Jacquillard, Neuchâtel ; Robert Junod, Genève ; Roger Louis Junod, écrivain ; Jean-Louis Leuba, professeur à l’Université de Neuchâtel ; Jean-Pierre Monnier, écrivain ; Claude Pichois, professeur à l’Université de Bâle ; Georges Poulet, professeur à l’Université de Zurich ; Marcel Raymond, professeur à l’Université de Genève ; Georges Redard, professeur aux universités de Berne et de Neuchâtel ; Denis de Rougemont ; Jean Rousset, professeur à l’Université de Genève Pierre-Henri Simon ; Jean Starobinski, professeur à l’Université à Genève ; Jean Steiger, professeur, La-Chaux-de-Fonds. Une série de photographies de Richard Heyd orne cet opuscule que complète la reproduction d’un dessin-portrait dû à André Minaux : 1 « avec Jacqueline Chambord, chez Richard Heyd, le 27 août 1946 » ; 2 « Jouant au "solitaire", chez Richard Heyd, 11 septembre 1946 » ; 3 « Au Tessin, 3 avril 1947 » [3 photographies sur le même thème] ; 4 « Lisant Les Mémoires d’un Âne, chez Richard Heyd, novembre 1947 » ; 5 « Chez Richard Heyd, 11 novembre 1947 » ; 6 « Rédigeant une déclaration pour la radio à l’occasion du Prix Nobel ».
Catalogue de l’exposition du Centenaire de la naissance d'André Gide au Musée Municipal, 12 juillet-17 août 1969, les couvertures et 16 pages imprimées. Outre une courte introduction de Georges Borias, on remarque que l’exposition comporte plusieurs segments : I La famille Gide ; II Les premières lectures de Gide ; III Premiers contacts littéraires, premières amitiés ; IV Le voyage en Afrique avec Paul-Albert Laurens ; V L’épanouissement ; VI André Gide et la Terre d’Oc ; VII Les peintres amis
Extrait de presse tiré de L'Impartial français, en date du 17 avril 1928, comprenant les pages 5 à 12 du numéro et son supplément intitulé Les Cahiers de L'Impartial [numérotés 481 à 512] ; sur la page 12, courte dédicace de Jean Prévost à Gide, 8 feuillets imprimés en 4 colonnes complets et le supplément des Cahiers, également 8 feuillets complets
Brochure-programme de la Comédie-Française à l’occasion de la présentation à la Salle Richelieu des Caves du Vatican, le 13 décembre 1950 ; le cahier comporte une couverture en papier bouffant de fort grammage avec le buste de Molière mis en relief et 20 feuillets imprimés sur papier glacé, également de fort grammage. Le cahier présente un texte de François Mauriac, intitulé « André Gide », 2 feuillets et un texte de Jean Paulhan, sans intitulé, 4 feuillets ; un tableau des personnages de la pièce et de nombreuses photographies des interprètes, du metteur en scène et du décorateur-costumier. L’illustration se décompose comme suit : une photographie d’André Gide, assis dans un fauteuil du théâtre, une liasse de papiers à la main, et une dédicace manuscrite : « La pièce est tout naturellement sortie du livre. Quant à comprendre comment le livre est sorti de moi…, novembre 1950 » ; une photographie de Jean Meyer, metteur en scène et de Jean-Denis Malclès, décorateur-costumier ; ses croquis et dessins apparaissent en marge de l’article de Paulhan, personnages sur fond de décors Belle-Époque, au nombre de 4 et en couleurs ; la couverture de l’édition originale aux Éditions de la Nouvelle Revue française, en 1914 ; enfin les portraits des comédiens : Mme Berthe Bovy, M. Yonnel, M. M. Le Marchand, Mlle Jacqueline Duc, M. Michel Vadet, Mme Béatrice Bretty, M. Louis Seignier, M. Paul-Émile Deiber, Mlle Jeanne Moreau, M. Georhes Vitray, Mlle Germaine Rouer, M. Georges Chamarat, M. Henri Rolland, M. Teddy Bilis, M. Jean-Louis Jemma, Mlle Renée Faure, Mme Andrée de Chauveron, M. Jean-Paul Roussillon, M. Alexandre.
Cahier-programme de Saül, pièce d’André Gide jouée par la Comédie de Provence ; la date de la représentation n’est pas indiquée ; la mise en scène est de Douking ; le cahier comporte 12 feuillets imprimés hors couvertures, sur papier couché. Le premier feuillet s’ouvre sur une photographie d’André Gide, devant sa bibliothèque de la rue Vaneau ; le deuxième feuillet représente le musicien Darius Milhaud dont une œuvre, interprétée et enregistrée par la « Musique des Équipages de la Flotte de Toulon », sert de musique de scène ; le troisième feuillet présente l’acteur-metteur en scène Douking ; les feuillets suivants sont consacrés à la distribution. Y ont joué Marcelle Géniat, Jean Marchat, Martial Rebe, Paul Delon, Lucien Bargéon, Stéphane Audel, Gamil Ratib, Marcelle Ranson, Monique Montivier, Janie Grazia, Alice Reichen, Geneviève Allio, François Martin, Claude Landry, Théo Jehanne, Janusz Ziolko, Martine, Jim Bessin.
Affiche éditée à l’occasion des représentations de Saül, d’André Gide, ainsi intitulée : « Saül d’André Gide ; Création de la musique de Darius Milhaud, Mise en scène, décors et costumes : Douking, avec Jean Marchat, sociétaire de la Comédie-Française, Marcelle Géniat et la Compagnie de la Comédie de Provence », 1 feuillet imprimé. Les représentations sont données en juillet/août, millésime non indiqué, soit 1953, soit 1954, à Toulon, au festival de la Tour Toyale ; à Draguignan, dans les Jardins de la Préfecture ; à Château-Bas, au Temple de Diane ; à Poet-Laval près de Montélimar ; à Hyères, sur la Terrasse de la Vieille Ville ; à Marseille, au théâtre Sylvain ; à Fréjus, aux Arènes et à Sanary, lors du Festival.
Texte d’ André Gide paru dans l’opuscule édité par le Théâtre Marigny, en octobre 1950, détaillé in Chapitre IV, Divers, cote I-04, 1 feuillet Imprimé
Opuscules édités par la Revue de la Comédie de Provence [voir in Chapitre I I, Index nominum, l’entrée Comédie de Provence], numéro 1, octobre 1954 et numéro 2, en date de mars 1955. Le premier sur papier couché grand format, présente l’activité de la Comédie de Provence de mars 1953 à août 1954, fondée par Douking et que sert une troupe de comédiens dont la photographie apparaît dans l’avant-dernier feuillet du cahier, au total 8 feuillets imprimés. Le deuxième, de format plus restreint, présente les activités, les textes joués et les hommes et femmes qui constituent cette troupe théâtrale, croquis et photographies, 16 feuillets imprimés
Opuscule édité par le Théâtre Marigny, intitulé « Théâtre Marigny » en octobre 1950 ; il comporte, en l’état, 54 pages imprimées ainsi qu’un certain nombre de feuillets volants.