Lettre, "affaire du chien"
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Au début de leur lettre, les deux enfants, Vitia Korostelov et Micha Anissimov, considèrent que l’acte de mettre à mort le chien est « injuste ». Cependant, en cours de lecture, on assiste à un revirement ; les signataires considèrent que le cousin de Gide n’avait pas d’autre choix que de procéder à la mise à mort, dès lors qu’il n’était pas trop riche, et, surtout, qu’il s’intéressait, en priorité, à « des chiens de pure race ».
Fondation Catherine Gide