Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 14 mars 1951, envoyée de Paris, sur papier à en-tête « Ministère de l’Éducation nationale / Conseil des Musées Nationaux / Palais du Louvre / Le Président », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe du Vice-Président et enveloppe d’accompagnement affranchie ayant en en-tête « Ministère de l’Éducation nationale et des Beaux Arts ».
Gide, Catherine
Lettre du ministère des Finances à Catherine Gide, du 13 février 1968, sur papier à en-tête « Ministère des Finances/ Direction Générale des Impôts/ Service des Domaines/ Inspection des Successions, 3e section, 9, place Saint-Sulpice, Paris VIe », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe de « l’Inspecteur ».
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 20 février 1951, provenant de Cannes, 1 feuillet dactylographié
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 20 février 1951, provenant de Milan, Italie, 1 feuillet dactylographié
Carte de visite vierge de tout écrit, envoyée à la suite du décès d’André Gide, sans date ni lieu d’envoi, accompagnant, peut-être, des fleurs. Nous savons seulement que Muñoz-Guzman réside à Santiago du Chili.
Lettre à Catherine Gide du 28 octobre 1952, sur papier à en-tête du magazine, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe.
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 22 février 1951, provenant de Genève, Suisse, 1 feuillet dactylographié
Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 26 février 1951, envoyée de Paris, 5, place Pereire, XVIIe, 1 feuillet ms. R/V avec enveloppe d’envoi affranchie et appel à l’aide, 1 feuillet dactylographié
Document de comptabilité concernant « droits d’auteur d’André Gide, depuis 1952 », établi sur papier à en-tête « Librairie Gallimard, 5, rue Sébastien-Bottin, Paris VIIe », en date du 6 mai 1959 et visé par Nicole Ouali, service « comptabilité auteurs », 1 feuillet dactylographié en triple exemplaires. Ce document n’apprend rien sur le mouvement des fonds affectant chacun des ouvrages d’André Gide, comme on le voit dans les précédentes ouvertures de cette rubrique. Il concerne effectivement les années 1952 à 1958. Il permet néanmoins de tirer quelques éclaircissements sur la situation de Gide non plus parmi ses contemporains, mais comme écrivain qui ne vend plus qu’à titre de gloire et non point par la production de nouveaux ouvrages. On constate un maintien fort honorable en 1953, un fléchissement très net en 1954, une reprise en 1955 et à nouveau un fléchissement à partir de 1956.
Document de comptabilité relatant le nombre d’exemplaires vendus de chacun des titres de Gide, entre 1943 et 1959, établi sur papier libre, 1 feuillet ms. de très grand format. On trouve, joint à ce document, la copie dactylographiée du même, en 2 exemplaires ; cette copie est incomplète, puisqu’elle ne reprend que la deuxième moitié du document manuscrit. Ce document donne un aperçu de la vente des ouvrages de Gide. Nous le communiquons par l’information qu’il apporte par la quantité des exemplaires vendus. Il s’agit moins d’une lecture statistique que nous pouvons opérer que celle du statut de Gide dans la France qui survit à sa mort. De toute façon, ces ventes s’entendent en « édition ordinaire » et ne préjugent pas de celles qui ont été effectuées en ventes de club, en pléiade, ou dans celle du Livre de Poche, récemment fondé. Il est patent que les ventes chutent nettement après 1952. Elles gardent leur étiage et n’ont plus rien de commun avec celles enregistrées du vivant de l’écrivain. Plutôt que de résumer cette évolution, titre par titre, c’est l’ensemble des ventes qu’il conviendrait de rapporter. La période est suffisamment large, 1943-1959, pour tirer, de ce point de vue, un intéressant enseignement. Tous titres confondus, Gide a vendu en 1943 : 20 980 exemplaires ; en 1944 : 26 161 exemplaires ; en 1945 : 25 289 exemplaires ; en 1946 : 21 403 exemplaires ; en 1947 : 118 635 exemplaires ; en 1948 : 211 102 exemplaires ; en 1949 : 104 204 exemplaires ; en 1950 : 85 056 exemplaires ; en 1951 : 99 532 exemplaires ; en 1952 : 87 677 exemplaires ; en 1953 : 32 433 exemplaires ; en 1954 : 42 256 exemplaires ; en 1955 : 27 501 exemplaires ; en 1956 : 23 195 exemplaires ; en 1957 : 25 741 exemplaires ; en 1958 : 19 725 exemplaires ; en 1959 : 20 955 exemplaires. On en déduit que le lectorat de l’écrivain se renouvelle régulièrement et à quantité égale, à l’exception des années-événements, attribution du Prix Nobel de Littérature en 1947 et décès en 1951, la première retentissant quasiment pendant quatre années consécutives, le deuxième ne se répercutant qu’en 1951 même, puisque les années suivantes retrouvent la moyenne des années de guerre et d’après-guerre. Si l’année 1954 est nettement meilleure que 1953 et 1955-59, c’est qu’on a vendu davantage d’exemplaires pour La Séquestrée de Poitiers, influence des médias en raison d’un événement survenu, cette année-là, dans cette affaire et qu’on vient de publier la Correspondance avec Valéry. Par la suite, ce titre ira décroissant, et de La Séquestrée de Poitiers il ne s’en vendra que des broutilles. Enfin, pour conclure, nous signalons que dans le présent document une rubrique est ouverte au titre Les Faux-monnayeurs, alors que les analyses des relevés de compte susmentionnés pointaient leur absence. C’est en 1948 qu’il s’en vendra le plus : 10 898 exemplaires. Et de 1943 à 1959 on en vendra 67 000 exemplaires.
New York, 07/02/1954 – 3 feuillets dactylographiés avec signature autographe
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 20 février 1951, provenant de New York, États-Unis, 1 feuillet ms. Julien O’Brien et sa femme « s’associent » à la douleur des proches de Gide. En Gide, ils perdent « un grand maître et un grand ami ».
Lettre des Éditions Gallimard, du 11 avril 1962, à Catherine Gide, sur papier à en-tête de la maison, signée J. O’Neill, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe
Athènes, 01/12/1980 – 2 feuillets dactylographiés
Athènes, 15/01/1981 – 2 feuillets dactylographiés
Note de Nicole Ouali de la Librairie Gallimard, du Service des Comptes d’Auteur, du 28 janvier 1960, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe et une version autographe, 1 feuillet ms. Ce document est un « état des sommes déclarées au fisc de 1943 à 1959, versées sur le compte André Gide ». Celles communiquées, du vivant de l’auteur, totalisent de 1943 à 1950 : 18 451.509 frs. Il est précisé qu’elles n’incluent pas celle attribuée par les jurés du Prix Nobel.
Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 24 février 1951, envoyée de Paris, 46, rue de Vitruve, XXe, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.



Lettre à Catherine Gide, du 3 février 1953, envoyée de Buenos Aires, par le signataire Jean Pénard, à propos de son ouvrage sur Gide, 2 feuillets ms. [avec enveloppe]
Lettre de condoléances à Catherine Gide, après le décès d’André Gide, du 20 février 1951, sur papier à en-tête « La Pensée russe/ Journal bi-hebdomadaire/ 26, rue de Mentholon, Paris IXe », 1 feuillet dactylographié avec plusieurs signatures autographes et enveloppe d’envoi affranchie.
Condoléances sur télégramme, en langue italienne, à la suite du décès d’André Gide, du 22 février 1951, provenant de Rome, Italie, 1 feuillet dactylographié
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 21 février 1951, provenant de Genève, Suisse, 1 feuillet ms. De retour de montagne, le signataire apprend la nouvelle du décès de Gide et « adresse [ses] sincères condoléances et [sa] vive sympathie ».
Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 23 février 1951, envoyée de Paris, 33, rue Ranelagh, XVIe, 1 feuillet ms. R/V avec enveloppe d’envoi affranchie.
Lettre à Catherine Gide du 13 septembre 1953, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe de R. Piault
Lettre à Catherine Gide du 15 avril 1954, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe de R. Piault, 1 feuillet dactylographié
Lettre à Catherine Gide, du 24 juillet 1951, sur papier à en-tête de la maison, 1 feuillet dactylographié avec signature autographe
Établissement d’un relevé relatif aux droits d’auteur d’André Gide, du 14 mars 1951, sur papier à en-tête « Librairie Plon ». Solde créditeur. Il concerne l’ouvrage, Dostoïevski, pour l’année 1950, 1 feuillet ms. R/V
Établissement d’un relevé relatif aux droits d’auteur d’André Gide, du 28 juillet 1952, sur papier à en-tête « Librairie Plon ». Solde créditeur. Il concerne l’ouvrage, Dostoïevski, pour l’année 1952, 1 feuillet ms. R/V
Établissement d’un relevé relatif aux droits d’auteur d’André Gide, du 8 juin 1954, sur papier à en-tête « Librairie Plon ». Solde créditeur. Il concerne l’ouvrage, Dostoïevski, pour l’année 1953, 1 feuillet ms. R/V
Établissement d’un relevé relatif aux droits d’auteur d’André Gide, du 20 septembre 1955, sur papier à en-tête « Librairie Plon ». Solde créditeur. Il concerne l’ouvrage Dostoïevski, pour l’année 1954, 1 feuillet dactylographié R/V
Lettre à Catherine Gide du 16 mars 1955, sur papier à en-tête « Librairie Plon », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe
Lettre de condoléances à Catherine Gide à la suite du décès d’André Gide, du 20 février [19]51, envoyée de Paris, 1, avenue de Tourville, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi. « La disparition [de Gide] ne paraissait plus possible » ; il reste « les sentiments d’attachement » du signataire.

Lettre de Georges Pompidou, président de la République française, à Catherine Gide [domiciliation « Association des Amis d’André Gide », 17, rue de l’Université, Paris VIIe], sur papier à en-tête « Le Président de la République » du 24 novembre 1969, 1 feuillet dactylographié avec signature et deux lignes autographes. Enveloppe jointe, avec en-tête « Le Président de la République ».
Facture du 1er mai 1948, sur papier à en-tête « Prévot, succr, 50, boulevard Quinet, Paris XIVe/ Entretien de sépultures/ Constructions de caveaux et chapelles », 1 feuillet ms.
Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, sans date d’envoi, provenant de Rambouillet, Seine et Oise, « 9, rue Dubuo », 1 feuillet ms.
Condoléances sur télégramme, à la suite du décès d’André Gide, du 20 février 1951, provenant de Tunis, Tunisie 1 feuillet dactylographié « Sentiments de vives condoléances ».
Paris, 15/08/1907 – 1 feuillet manuscrit avec enveloppe et carte de visite de changement d'adresse
Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, sans date d’envoi, provenant de Paris, 2, rue Verderet, XVIe, 1 feuillet ms.
Lettre de condoléances à Catherine Gide à la suite du décès d’André Gide, du 20 février 1951, lieu d’envoi non précisé, avec enveloppe d’accompagnement, sans cachet postal, 1 feuillet ms. R/V.

Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, sans date d’envoi, provenant de Paris, 1 bis, rue Vaneau, VIIe, 1 feuillet ms. Les « condoléances les plus émues » sont adressées à Mme Van Rysselberghe, à Mme et M. Pierre Herbart, à Mme et M. Lambert.
Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, vierge de tout texte manuscrit, sans date d’envoi, provenant de Paris, 27, Quai Anatole-France, VIIe. L’expéditrice décline, sur cette carte, ses titres : « Directrice de "ROLET", Secrétaire perpétuelle de l’Académie de la Paix, Présidente du Souvenir d’Alfred de Vigny ».
Carte de visite, envoyée à la suite du décès d’André Gide, sans date ni lieu d’envoi. Il est précisé, en biais, « fleurs ». Elles ont accompagné cette carte de la veuve de Paul Valéry.
Paris, 05/12/1963 – 1 feuillet dactylographié avec signature autographe
Paris, 16/10/ 1955 – demande d'autorisation de publication de 5 Lettres d'André Gide à Adrienne Monnier – 1 feuillet dactylographié annoté et signé
Lettre à Catherine Gide, du 5 avril 1951, envoyée de Paris, sur papier à en-tête de « Ministère de l’Éducation nationale / Direction des Musées de France / Palais du Louvre, pavillon Mollien, place du Carrousel », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe de Guy Salles, directeur des Musées de France et enveloppe d’envoi affranchie.
Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, sans date d’envoi, provenant de Paris, Hôtel du Palais d’Orsay, Quai Anatole France, VIIe, 1 feuillet ms.
Lettre de condoléances de Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 22 février 1951, envoyée de Paris, 5, rue des Cendriers, XXe, 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.
Condoléances sur carte de visite, à la suite du décès d’André Gide, vierge de tout texte, sans date d’envoi, provenant de Paris, Librairie Gallimard, 15, boulevard Raspail, VIIe. Le mot « fleurs » en biais, indique que Roland Saucier, directeur de la Librairie Gallimard a accompagné une gerbe de fleurs de cette carte.
Lettre à Catherine Gide après le décès d’André Gide, non datée [février 1951 probablement], envoyée de Paris, sur papier à en-tête « Ministère des Affaires étrangères/ Direction Générale des Affaires Culturelles / Service des Échanges Culturels, Livres », 1 feuillet dactylographié avec signature autographe de Michel Scheuler.
Lettre de condoléances à Catherine Gide après le décès d’André Gide, du 20 février [19]51, envoyée de Lubeck, Allemagne, « Danziger strasse 6 », 1 feuillet ms. avec enveloppe d’envoi affranchie.
Paris, 26/01/1953 – 1 feuillet dactylographié avec signature autographe